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La vie et l'œuvre de Chagall bénéficient d'une renommée internationale, faisant de lui un peintre reconnu. Tout au long de sa vie, cet artiste juif a imprégné ses toiles de passion et de poésie. Il a laissé des témoignages de sa touche personnelle à travers le monde, de la Metropolitan Opera House de New York, à l'Opéra Garnier de Paris.

Il s'agit d'un magnifique livre paru en 1996 dédié à Matisse, il met en valeur les très nombreuses reproductions.

D'abord chef de file du fauvisme, mouvement caractérisé par la primauté des couleurs pures et violentes, Henri Matisse se démarque des autres mouvements qui ont traversé le siècle dernier, comme le cubisme ou l'art abstrait, pour construire une œuvre singulière autour de l'équilibre des formes et des couleurs.

Henri Matisse, né le 31 décembre 1869 au Cateau-Cambrésis et mort le 3 novembre 1954 à Nice, est un peintre, dessinateur, graveur et sculpteur français.

C'est dimanche... la semaine dernière à peine descendu du train qui m'amenait d'Arles à Paris, j'ai été chez mon frère Théo, dans son appartement. Tu étais là, tout petit dans ton berceau. J'ai été si ému de te voir, toi, le fils de mon frère que j'aime tant, à qui j'ai écrit toute ma vie des centaines et des centaines de lettres... mais aujourd'hui, c'est à toi que j'écris.

Pour apprendre à reconnaître les arbres. Une photographie en milieu naturel, l'autre en laboratoire permet l'identification rapide.

Iconographie abondante , en noir et en couleurs, biographie, table des illustrations.

Paul Gauguin, né le 7 juin 1848 à Paris et mort le 8 mai 1903 à Atuona aux îles Marquises, est un peintre postimpressionniste français

Ce livre contient la biographie de Modigliani et étudie l'évolution de son style et ses sources d'inspiration.
Il y a des tableaux, mais aussi des dessins et des sculptures. Nous y retrouvons le " Nu Couché " qui fit grand scandale, à l’époque, lors de son exposition dans une vitrine du boulevard Saint-Germain. Il date de 1917 et la couverture du livre en est une partie. Il y a aussi les portraits de ses amis Zborowski, Cocteau, Max Jacob, Soutine., suivis par une série de nus de " la belle romaine ". Arrivent ensuite les portraits de Jeanne Hébuterne. Sans être complet, ce livre donne une excellente idée de l'évolution de l’oeuvre du peintre et les reproductions sont de bonne qualité.

La guerre d'Algérie : une sale guerre comme on dit. Comme s'il existait des guerres propres. Une guerre à laquelle ont participé des milliers de jeunes Bretons, de 1954 à 1962. Parmi eux Robert le Goff. Ancien journaliste au Télégramme, il a entrepris de nous dire, à travers de nombreux témoignages qui étaient ces appelés du contingent, comment ils vécurent ces longs mois loin de leurs foyers.
Il y eut le temps du silence. De très longues années durant lesquelles le souvenir de la guerre d'Algérie se résumait chaque année, le 19 mars, aux traditionnelles cérémonies commémoratives. Dans l'indifférence ou presque. Mais aujourd'hui la voilà qui revient cette guerre, comme un boomerang, avec son cortège d'interrogations, de remises en cause. Et cette nécessité, de ceux qui y laissèrent une bonne partie de leur jeunesse, de le raconter. Parce qu'enfin on est prêt à les entendre. Une parole qui se libère et qu'à su capter dans toute sa force Robert le Goff. Pas en guerrier, mais en journaliste.
La torture ? Robert le Goff l'évoque sans détours pour dire que, contrairement à ce qu'à longtemps voulu faire croire le discours officiel, elle ne s'est pas limitée à des actes isolés. «La pratique de la torture fut institutionnalisée, enseignée dans des centres spécialisés à des gradés jugés capables de l'appliquer. On l'utilisa sans justification d'urgence autre que le pur résultat opérationnel.» De cette guerre, quelque 1.200 jeunes Bretons ne revinrent pas. Des jeunes, dit Robert le Goff, «à qui on ne demanda jamais leur avis en les engageant dans la défense d'une cause, dont la passion empêchait de voir qu'elle était perdue d'avance.» Yvon Corre
«Soldats bretons en Algérie» de Robert le Goff.

Mathurin Méheut (1882, Lamballe - 1958, Paris)
Peintre, dessinateur, illustrateur, décorateur, céramiste, sculpteur, graveur.

Fils d'un artisan lamballais, Méheut manifeste très tôt des dons artistiques et sort à 20 ans, brillamment diplômé de l'école des Beaux Arts de Rennes. Il s'inscrit ensuite à l'Ecole nationale des arts décoratifs à Paris et suit les cours d'Eugène Grasset à l'Ecole normale d'enseignement du dessin. Très vite, il collabore comme peintre décorateur à la prestigieuse revue Art et décoration. Puis il va à la Station de biologie marine de Roscoff pour illustrer Etude de la mer, flore et faune de la Manche et de l'Océan.

Monographie parue en mai 1970 comme premier titre de La Septième Face du Dé, Collection spécialisée sur l art du Surréalisme, dirigée et réalisée par Jean Saucet. Textes de Pierre Passeron: En écoutant Georgette Magritte - Interview, Les Grands espaces froids, La Nuit Intérieure, La Femme regardée, Métamorphose et Surréel, Les Lois de l Absurde. Biographie de René Magritte -Eléments de bibliographie.

GUSTAVE MOREAU ET LE SYMBOLISME

Académique, romantique, italianisant : Gustave Moreau n'aurait pu être qu'un éclectique, comme tant de ses confrères à succès, empruntant aux uns et aux autres les éléments constitutifs d'un style impersonnel.

Moreau pensait que la peinture était, par définition, un art riche et devait chercher à rivaliser avec l'émail : un tableau tel que Jupiter et Sémélé constitue le meilleur exemple de ce principe.

Moreau ambitionnait de créer une œuvre où l'âme pût trouver, selon ses propres mots : toutes les aspirations de rêve, de tendresse, d'amour, d'enthousiasme, et d'élévation religieuse vers les sphères supérieures, tout y étant haut, puisant, moral, bienfaisant, tout y étant joie d'imagination de caprices et d'envolées lointaines aux pays sacrés, inconnus, mystérieux. La peinture de Moreau doit faire davantage rêver que penser. Elle vise à transporter le spectateur vers un autre monde.

Jean Bulot nous relate le naufrage de l'Amoco Cadiz en mars 1978 sur les côtes bretonnes et ses conéquences.

En mars 1978, par une nuit de tempête, le pétrolier de 234 000 tonnes se brise sur les rochers de Portsall (Nord-Finistère) infligeant au Trégor la pire catastrophe écologique de son histoire.

La peinture de Jean Le Merdy est qualifiée de simple et solide. Son dessin sobre et dépouillé.

La clé de son domaine artistique, c’est manifestement, la sûreté d’un œil éduqué dès l’enfance et sans cesse entraîné. Issu d’une famille de photographes , Jean Le Merdy se joue avec aisance du cadrage et de la profondeur de champ , de l’horizontale et de la vue plongeante, du net et du flou .

Un imagier pour découvrir les caractères chinois : quand l'écriture se fait dessin, image, elle appelle au rêve et à la poésie. Les caractères chinois sont des images dont le sens se donne à lire d'un seul coup d'oeil, comme un panneau de signalisation. C'est cette forme d'écriture, proche de l'appréhension du langage par les tout jeunes enfants, que cet imagier les invite à découvrir.

Parcours thématique à travers les collections du Musée national d'art moderne. Une occasion d'aller à la découverte des oeuvres en suivant un fil conducteur et de confronter des univers très différents, d'un artiste à l'autre, d'une période à l'autre, au-delà des disciplines.
Cramoisi, magenta, vermillon... la palette des rouges se déploie au fil des pages : ocre rouge d'une sculpture en argile de Penone, coeur vermillon de Jim Dyne, uniforme écarlate du groom peint par Soutine...
Les dépliants créent des rencontres : le rutilant Rhinocéros de Veilhan côtoie une voiture compressée par César. Rouge aime le vert dans un portrait de Modigliani ou fait claquer les jaunes dans un intérieur de Matisse.

Un nuancier de rouges à monter soi-même et à emporter au Musée.

Peaux, tissus et bouts de ficelles, bâches cordes, feuilles et même viande crue, les matériaux souples se sculptent comme des secondes peaux. Un jeu de dépliants permet des face-à-face inattendus : le Manteau d'Etienne-Martin, les habits vides suspendus par Boltanski. Les œuvres parlent du corps et de ses enveloppes, ses doublures, de ses empreintes. Une table partie de cache-cache avec les objets se joue devant les sculptures d'Oldenburg, les pianos de feutre Beuyus, les tables empaquetées par Christo.

Moutarde, bronze, safran...
la palette des jaunes se déploie au fil des pages : les citrons de Matisse font face aux fruits radieux de Picasso, un jaune orangé inonde de lumière une baigneuse de Bonnard, un jaune fluo tombe des néons de Bruce Nauman. Jaune joue en duo avec le violet dans les carrés optiques de Morellet. Sans oublier les ors qui étincellent sur les bronzes polis de Brancusi ou sur Le Pot doré de Raynaud... En suivant un fil conducteur, une couleur, une matière, une forme, l'enfant tisse des liens entre des Ouvres très différentes : peintures, sculptures, photos, objets de design, architectures, ... Un nuancier de jaunes à monter soi-même et à emporter au Musée !

Quand les œuvres des artistes cherchent à rivaliser avec la beauté des objets industriels : des éléments mécaniques de Léger aux disques de Delaunay, des rouages du Cheval de Duchamp-Villon aux machines d'acier de Kupka... Parfois, il est même question d'attraper le mouvement : le futuriste Russolo le décompose en formes éclatées, Tinguely fait tourner les roues de machineries loufoques, Panamarenko s'inspire des ailes de libellule pour créer un engin volant... Ou comment la fascination de la technique se décline sur un mode poétique et coloré.

La Bretagne est une terre de Calvaires. Ce bel ouvrage nous emporte en
promenade singulière vers les sept calvaires monumentaux de Bretagne,
et plus particulièrement dans le Morbihan et le Finistère : Guéhenno, Guimiliau,
Pleyben, Plougastel-Daoulas, Plougonven, Saint-Thégonnec et Tronoën.

D'une beauté inouïe, les magnifiques peintures de Michel Bez feront découvrir
ou redécouvrir ces monuments de pierre. Avec une force hors du commun, une
sensibilité rare, un souci du détail tout à fait original et inédit. Rien n'a échappé
à l'artiste passionné d'art religieux et lui-même fasciné par ces ensembles
sculptés dans le granit.

La Fuite en Egypte, la Cène, le Portement de Croix, la Crucifixion... Toutes les
scènes taillées par la main de l'artisan il y a plus de cinq siècles n'ont pas pris
une ride et paraissent plus vraies que nature. On voudrait presque toucher ce
granit de Kersanton patiné par les siècles, martyrisé par les grêles, pluies ou
vents, caressé par les rayons de soleil timides ou flamboyants, parsemé ici
ou là de lichens et de mousses.

Viennent accompagner en harmonie, des textes de Guy Leclerc nous relatant
la construction et la signification des scènes tout en y intégrant une dimension
mystique.

Justes, à la fois modernes et fidèles, ces pages témoignent, avec un sens du sacré,
de ces somptueux édifices religieux dont la Bretagne s'enorgueillit.